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Association des gabonais d'Amiens (AGA)
26 juillet 2006

proposition de participation au festivart

Bonjour, 
voilà je vous écris pour vous proposer de participer à un festival artistique et social le FESTIV'ART 2006 au sein de l'IRFFE ( institut de formation de fonction éducative) à AMIENS le 23 et 24 septembre 2006 au programme musique, courts métrages, ateliers, theatre et expositions, forum social etc je vous envois ce mail pour vous inviter à cet évènement.Je vous propose de venir vous joindre à nous sous forme de stand d'ateier , d artistes ou simplement nous aider le jour J ou venir en tant que spectateur à ce festival des places gratuites peuvent etre mis à dispositions pour les associations qui le demande.ainsi rejoindres toutes les autres artistes et associations qui se sont jointes à nous (waide somme, zebulon, atelier des plumes, céméa,délicieuses alexandra, quatre tiers etc le patch) ou si ce n est pas possible de nous aider peut etre à nous mettre en relation avec d'autres artistes amateurs et professionnels pour enrichir notre programmation et de vous avoir serait une grande chance...Biensur ce festival va peut etre vous paraitre un peu familiale..et vous avez raison rencontre de differents artistes de differents domaines et de diffèrentes régions pour un but commun, financer un projet humanitaire au TCHAD.

FESTIVART est un festival bon enfant où tous les bénéfices seront reversés pour à un projet humanitaire au Tchad (construire un pensionnat pour 30 enfants) N'hésitez pas à me contacter pour plus de renseignement beaucoup d'associations devraient etre representer,diffusion de films,d'expos, conference, des representations et expliquer qu'ils sont et que fait leur association et ainsi se faire connaitre et rencontrer d'autres associations.Ce festival reste un peu "underground"mais il faut defendre encore de tel projet où tous le monde à sa place et donc aucun cachet ne peut être attribué à un artiste( professionnel ou amateur) mais il est possible des defraiments (logement, transport  à discuter ) , il est possible de vendre ses oeuvres sur place) le reste on peut en discuter il est vrai que seule la bonne volonté de tous les artistes permettra de faire de cet évènement....l'évenement! N'hésitez pas à nous contacter pour des renseignements suplémentaires. j espere que vous nous ferez la joie de votre présence. En attente de votre réponse. Veuillez agréer mes salutations  distinguées.

www.atelierdesplumes.net

BROUCKE ARNAUD
"Les Radicaux Libres"
tél: 06.64.87.70.43
20 rue de la paix
80470 Ailly sur Somme

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Commentaires
M
Monsieur, dès l’entame de mon propos je dois vous concéder le fait que vous n’ayez rien saisi (ou plutôt pas grand-chose) à la quintessence même de mon pamphlet. Il n’y est pas du tout question d’une quelconque forme de nivellement par le bas ; pas plus qu’il n’y est question de faire l’avocat du diable. En bref il n’y est pas question de parti-pris. Celui qui crie le plus haut n’a pas toujours raison (surtout quand il y est question d’aînés) et c’est bien là le fondement de mon propos. Le sens de la responsabilité exige que l’on se concerte, en pareille circonstance (et c’est la raison d’être des bureaux directeurs), afin de débattre des questions qui doivent l’être. Ce n’est pas en ameutant le maximum que l’on parvient à se faire justice. <br /> Vous faites bien à ce propos de citer machiavel. Mais il n’est pas question ici de cautionner le désordre (ne confondons surtout pas les niveaux de raisonnement). Il y est question d’en venir à bout, mais par des méthodes productives. Est-il besoin, quand l’on fait partie d’un comité directeur, de se désolidariser de la masse et pousser des piaillement par voie de média interposer, ce sans conciliabule préalable ? La « délation », terme dont vous faites usage, vient justement de ce qu’étant membre d’une équipe, on en vienne à s’en désolidariser, sans concertation préalable, pour en répandre une image des plus dénigrantes. Il y a là tout lieu de parler de vice de procédure, voire d’un délit d’initié. Aussi doit-on s’interroger de l’efficacité d’un Bureau Directeur à l’intérieur duquel règnent acrimonie et intrigue. <br /> Dans le même ordre d’idée, j’ai évoque une identification induite à Jesus-Christ. Je n’ai pas la prétention de me prendre pour cet homme que je connais peu et dont je ne me permettrai aucun jugement. Encore une fois, c’est une identification induite ; ce qui suppose une condition à la base. Attention !Lisons entre les lignes. <br /> Ceci dit ce site internet a vocation à faire la promotion de la structure et non pas à relayer des querelles mesquines. Et c’est bien celle là ma préoccupation première, que les bailleurs de fonds, croisant par un cliquètement hasardeux de telles ignominies, ne s’empressent de généraliser et de priver toute une structure, à l’avenir, du moindre fonds. Telles est, résumée et simplifiée, ma préoccupation première. Le reste n’est que verbiage, encore faut-il qu’il soit productif, hélas ! Votre droit de réponse me semble complètement inadapté au texte fondateur de ce discours (mon propos initial). J’aurais pu m’interroger sur le sens d’un tel discours, tendant à faire de certains des ‘’plus Gabonais que d’autres’’. Hélas votre seule levée de boucliers contre mon propos initial qui prône plutôt la concertation au désordre suffit à me retenir. Mais je ne peux m’empêcher tout de même de relever le caractère mesquin et hautement déloyal de certains de vos propos tendant à disqualifier vos interlocuteurs par leur démarcation infondée de ce qui pourrait être considérer, à en croire vos propos, comme des affaires intra gabonaises (comme s’il y en avait qui se sentaient plus Gabonais que d’autres). Hélas un tel état d’esprit me semble dénué de toute forme de responsabilité (je vous cite : « De grâce, laissONS les gabonais s'exprimer »). Aussi ai-je pensé à me borner à la simplification de mon propos initial, en espérant m’être mieux fait entendre, ou plutôt comprendre. En bon entendeur, cher compatriote (car malgré tout je suis bien Gabonais comme vous, sans avoir à le crier sur des toits).
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